In Spite of Wishing and Wanting

GENERIQUE REPRISE 2016

MISE EN SCÈNE, CHORÉGRAPHIE, SCÉNOGRAPHIE
Wim Vandekeybus

MUSIQUE ORIGINALE & SOUNDSCAPE
David Byrne

"FUZZY FREAKY" REMIX
DJ Food

INTERPRÉTÉ PAR
Rob Hayden, Eddie Oroyan, Yassin Mrabtifi, Guilhem Chatir, Grégoire Malandain, Luke Jessop, Luke Murphy, Flavio D'Andrea, Knut Vikström Precht, Cheng-An Wu, Baldo Ruiz, Wim Vandekeybus, Giovanni Scarcella, Nuhacet Guerra Segura, Alexandros Anastasiadis

ASSISTANTS CHOREGRAPHIE
Iñaki Azpillaga, German Jauregui

ASSISTANTE ARTISTIQUE
Greet Van Poeck

STYLING
Isabelle Lhoas ASSISTÉE PAR Isabelle De Cannière

COORDINATION TECHNIQUE
Davy Deschepper

LUMIÈRE
Francis Gahide, Davy Deschepper

SON
Bram Moriau

REGIE PLATEAU
Tom de With

PRODUCTION
Ultima Vez

COPRODUCTION
KVS (Bruxelles, BE)

GENERIQUE SUPPLEMENTAIRE VERSION ORIGINALE 1999

CRÉÉ AVEC & INTERPRÉTÉ PAR
Nordine Benchorf, Saïd Gharbi, Benoît Gob, German Jauregui Allue, Juha-Pekka Marsalo, Igor Paszkiewicz, Ali Salmi, Giovanni Scarcella, Piotr Torzawa Giro, Gavin Webber, Wim Vandekeybus, Christophe Olry

AUSSI INTERPRÉTÉ PAR
Max Cuccaro, Jordi Galí Melendez

ASSISTANT WIM VANDEKEYBUS
Georg Weinand

ASSISTANT MOUVEMENT
Iñaki Azpillaga

COSTUMES
Lies Van Assche & Isabelle Lhoas

ASSISTANTE COSTUMES
Els Mommaerts

CREATION LUMIERE
Richard Joukovsky, Wim Vandekeybus

INGENIEUR LUMIERE
Francis Gahide

REGIE PLATEAU
Christophe Olry

INGENIEUR SON
Benjamin Dandoy

COPRODUCTION
Teatro Comunale di Ferrara, Festival d'estiú Barcelona Grec '99, Luzerntanz, KVS

FILM THE LAST WORDS

DIRECTION
Wim Vandekeybus

SCÉNARIO
Wim Vandekeybus & Jan De Coster

BASÉE SUR LES HISTOIRES COURTES DE
Julio Cortázar 'Cuento sin Moraleja' & 'Acefalia'

DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE
Patrick Otten

MONTAGE
Rudi Maerten

SOUND DESIGN
Charo Calvo

MUSIQUE GENERIQUE
David Byrne

AVEC
John Campbell, Alessandra Fabbri, Max Cuccaro, Mary Herbert, Nordine Benchorf, Stefano Questorio, Ali Salmi, Benoît Gob, Igor Paszkiewiez, Germán Jauregui Allue, Juha-Pekka Marsalo, Saïd Gharbi, Giovanni Scarcella, Piotr Torzawa Giro, Gavin Webber, Charo Calvo, Angelo Dello Spedale, Toni d’Antonio, Lilia Vieira Nestre, Antonio Grossi, Max Pairon, Mathilde Pairon, Judith Vindevogel, Sandrine La Roche, François Brice, Frédéric Gibilaro, Nicola Schössler, Dominique Van Steerthegem, Carméla Locantore, Vincent Scarito, Jan De Coster, Christophe Orly, Lorenza Di Calogero, Ana Stegnar, Jean-Baptiste Lefebvre, Ezra Eeman, Ophelia Van Campenhout, Wim Vandekeybus

COSTUMES
Lies Van Assche

DÉCOR
Christophe Olry

MANAGER DE PRODUCTION
Anja Daelemans

PRODUCTEUR
Eric Kint

PRODUCTION
Itinera Films

COPRODUCTION
Ultima Vez

SOUTENU PAR

© Bruno Vandermeulen

En 1999, In Spite of Wishing and Wanting fait l’effet d’une bombe. Pour la première fois, Wim Vandekeybus délaisse la chimie entre les hommes et les femmes, et se penche sur le désir originel d’un monde uniquement peuplé d’hommes – déchaîné, sauvage, naïf et ludique. Des images de film et des séquences dansées envoûtantes, portées par le soundtrack sensuel de David Byrne, se fondent des monologues sur la peur, le désir d’affection et la magie du sommeil. En 2016, une toute nouvelle distribution s’attaque à ce succès mondial.

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Le titre de sa création "In Spite of Wishing and Wanting" (littéralement: "Malgré le désir et la volonté") nous replonge dans un univers dominé par les conflits: le désir et son impossibilité. Dans ses premiers spectacles, Vandekeybus confrontait le corps de danseur et le risque physique immédiat. La peur de devenir possédé par quelque chose ou quelqu’un d’autre a un revers: le désir de se changer en quelque chose ou quelqu’un d’autre. La peur et le désir gravitent autour d’un même noyau. C’est ce désir de transformation qui est le thème central de "In Spite of Wishing and Wanting".

Deux nouvelles, une de Julio Cortazar et une de Paul Bowles, hantaient Wim Vandekeybus depuis quelque temps. Au centre de ses deux récits: le mouvement entre ce qui nous est propre et ce qui nous est étranger, un mouvement impossible à apaiser. Wim Vandekeybus a réalisé un nouveau court-métrage pour ce spectacle, inspiré de ces deux récits.

Pour la musique, il a fait appel à David Byrne: des compositions nouvelles pour attaquer de front la confrontation avec le mouvement.